Comment cela a-t-il pu se produire ? 2 / 9
C’est la question posée par tous les grands médias lors d’une catastrophe que tout le monde prévoyait, mais dont personne n’a empêché les méfaits !
Pour notre association, aucune surprise (revoir nos journaux 1 à 6) depuis des années, nous alertons les responsables (élus, autorités judiciaires, administratives…) afin de dénoncer les abus, irrégularités… en fournissant bien entendu tous les éléments qui permettent de corroborer nos accusations en ne laissant aucune place au doute quant à la responsabilité des auteurs.
Hélas !, ceux qui sont pourtant chargés de défendre les biens et les personnes se sont montrés plus que timides quant aux suites à donner à nos actions, laissant ainsi l’illusion d’une immunité permanente qui a conduit de fait à ce gâchis moral et financier.
Il faut dire qu’à SAINT FIRMIN, les élus ont « mis la charrue devant les bœufs », ils ont commencé avec l’argent « frais » par réaliser les projets non prioritaires, de ces projets qui font « plaisir » aux électeurs, amis, familles et par voie de conséquence aux élus eux-mêmes, puis, par de gros emprunts en fin de mandat, à une partie des projets que la loi impose de réaliser.
Ainsi, une partie non négligeable des habitants a adhéré et cautionné aux démarches de la municipalité.
Alors, on a tenté de nous faire taire en nous discréditant auprès de la population (lettre au Saint Firminois, menaces etc…) contestant notre légalité et notre légitimité à agir.
Cependant, cette légalité et cette légitimité à agir n’ont été contestées ni par l’autorité judiciaire, ni par l’autorité administrative. Nous avons donc été invités à notre grande surprise en juin 2008 à faire partie des associations de la commune. Est-ce un début d’une reconnaissance volontaire ou forcée de la municipalité ?
Bien évidemment nous n’avons pas donné suite à cette invitation qui arrive après plusieurs années de mise en cause de notre association et de ses dirigeants.
Nous rappelons ici que chaque document nous permettant de suivre l’évolution de la gestion de la commune nous a été facturé par cette dernière 0,30 centimes d’euros. Ce suivi n’avait pour but que de protéger les intérêts de la commune et de ses habitants contre certaines décisions. Il faut dire également que les documents les plus « parlants » pourtant communicables au regard de la loi nous ont été refusés. Puis en janvier 2008, la municipalité toute entière a voté des poursuites judiciaires contre l’association et ses dirigeants sur la base de décisions de justice « provisoires » . Nous avions informé dans notre journal n° 6 que tous les frais de justice engagés par les élus contre l’association (sommation d’huissier, plaintes, avocats etc… étaient à la charge de la commune donc du contribuable, ceci non pas pour défendre les intérêts de la commune défendus d’évidence par l’association, mais bien pour défendre les intérêts de certains élus et autres personnes. Les éléments portés à la connaissance de la justice démontraient sans équivoque leur mise en cause dans des « opérations » que la loi réprouve. On mesure bien ici le paradoxe, ceux qui ont dénoncé les irrégularités seraient poursuivis au bénéfice de ceux qui ont commis les infractions. S’il en était durablement ainsi, nous pourrions légitimement nous poser la question du devenir de notre démocratie ! Nous faisons bien évidemment confiance à la justice pour qu’au final un signe fort soit donné à ceux de nos concitoyens qui assistent dépités à ce triste spectacle judiciaire. Nous demanderons le dépaysement des ces affaires en raison de la personnalité des mis en cause.
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